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Selon le rapport de l’ANSES, un groupe de travail a été mis en place en 2019 sur les onduleurs de l’éolien, pour établir les limites des champs électriques dans lesquels les éoliennes peuvent fonctionner avec des perturbations pour la santé des personnes. Il en ressort que le champ électrique dans les turbines éoliennes peut dépasser le niveau de la norme en vigueur et créer des situations dangereuses pour les personnes présentes dans les environs.

Les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement présentent en effet des champs électriques supérieurs aux limites imposées par la réglementation. Cette étude de l’ANSES précise que dans certaines circonstances, ils sont même supérieurs à la limite en vigueur.

Ainsi une étude en ligne de 179 personnes a été réalisée par le professeur Y. Le Meur et son équipe sur 25 onduleurs de parcs éoliens à l’échelle de la France. La fréquence du champ électromagnétique de l’éolienne a été mesurée en sortie du transformateur électrique (entre le moteur et le générateur), puis à 5, 10, 20 mètres des onduleurs. Les champs électriques ont été mesurés avant et après l’installation des onduleurs, puis après leur mise en fonction, pour une durée allant jusqu’à 120 minutes pour l’ensemble des onduleurs. Dans les trois conditions de mesure, les champs électriques sont supérieurs aux limites réglementaires en vigueur et peuvent atteindre des niveaux dangereux pour les personnes. Il s’agit de 1,3 V/m à 5,0 m et de 2,0 V/m à 10,0 m pour une intensité d’onde maximale de 100 mW/cm2 à 1 m de la machine.

Condensateur à base de polymères conducteurs de l’électricité

Le condensateur à base de polymères conducteurs de l’électricité (PCM) a été étudié par les scientifiques de l’Institut de physique de Toulouse. L’objectif était de comparer la capacité de résistance électrique des PCM aux onduleurs d’éoliennes fonctionnant à 100 % de leur puissance nominale. L’étude a porté sur les PCM de 6 fabricants :

Aux États-Unis : Eaton et Westinghoff, avec leurs séries de PCM 6700, 8700 et 6700-480 ;

En France : , PowersolAeolisRexel, avec leurs séries de PCM 21000, 32000 et 21000-150.

L’étude montre que les PCM sont plus efficaces que les condensateurs au cuivre ou les condensateurs à base de céramiques dans les conditions de fonctionnement normales. La résistance électrique de ces PCM a été mesurée en sortie de transformateur et à 5, 10, 15 et 20 mètres de l’onduleur. Les valeurs sont comparées à une limite inférieure à 1,0 V/m à 5, 10, 20 m et une limite supérieure à 2,0 V/m à 10,0 m pour une intensité maximale de 100 mW/cm2. Les résultats montrent que les PCM sont plus efficaces que les condensateurs au cuivre ou les condensateurs à base de céramiques dans les conditions de fonctionnement normales.

L’étude sur les onduleurs de parcs éoliens

L’étude sur les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement présentée dans le rapport de l’ANSES est basée sur les résultats d’une étude réalisée par des chercheurs de l’Institut de physique de Toulouse. Elle analyse les données des onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France.

L’étude de l’ANSES porte sur les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France métropolitaine. Elle repose sur une méthodologie qui compare les champs électriques mesurés à l’intérieur de ces onduleurs à la norme en vigueur. Les résultats de l’étude montrent que les champs électriques mesurés à l’extérieur des onduleurs présentent des niveaux supérieurs à la norme et que les champs électriques mesurés dans le champ de l’éolienne peuvent dépasser la norme.

L’étude porte sur les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France métropolitaine.

Le rapport de l’ANSES

L’ANSES a publié un rapport en novembre 2022, intitulé « Le champ électrique dans les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement ».

Il fait suite à une étude réalisée par des chercheurs de l’Institut de physique de Toulouse en 2021.

Ce rapport de l’ANSES porte sur le champ électrique dans les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France métropolitaine. Il repose sur une méthodologie qui compare les champs électriques mesurés à l’intérieur de ces onduleurs à la norme en vigueur.

L’étude de l’ANSES

L’ANSES a publié en 2020 un rapport intitulé « Le champ électrique dans les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement ». Les conclusions de l’étude montrent que les champs électriques dans les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement présentent des niveaux supérieurs à la norme en vigueur. Les résultats de l’étude montrent que les champs électriques dans les onduleurs présentent des niveaux supérieurs à la norme en vigueur.

L’étude porte sur le champ électrique dans les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France métropolitaine. Il s’agit de comparer les champs électriques mesurés à l’intérieur de ces onduleurs à la norme en vigueur.

Les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement

L’étude de l’ANSES a porté sur les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France métropolitaine. Cette étude a été menée par les chercheurs de l’Institut de physique de Toulouse, en collaboration avec des chercheurs de l’INERIS (Institut national de l’environnement industriel et des risques).

L’étude a porté sur les onduleurs des parcs éoliens en fonctionnement à l’échelle de la France métropolitaine.